Le maintien de l’environnement en bon état est devenu l’actualité du siècle. Cette situation entraine entre-autres une remise en cause de certaines habitudes alimentaires modernes telle la restauration fast-foot. Y a-t-il une compatibilité entre cette dernière et le concept de préservation de l’environnement ?
Est-ce que la consommation de type fast-food est dangereuse pour la nature ?
L’évolution industrielle a favorisé l’amplification du mode de restauration fast–food. Accessible à tous les budgets et proposant des plats prisés, ce type de service est répandu dans les villes. Cette situation créée d’énormes déchets plastiques, car les contenants ne sont guère réutilisables. Les emballages utilisés constituent les premiers éléments identifiés comme source d’encombrement des océans. Ils contiennent entre-autres des composés fluorés, lesquels nuisent à la nature en polluant les eaux et sols.
Il en est de même pour les papiers jetables et les pailles qui constituent une autre forme de déchets. Diverses enseignes luttent contre ces pratiques, dont SML Food Plastic , lequel vient à la rescousse de l’environnement avec des emballages plus écologiques. Au-delà des contenants utilisés, le transport des produits ainsi que leur production ne sont pas compatibles avec la nature. L’élevage des bœufs engendre par exemple une forte émission de méthane (CH4), un gaz qui participe au réchauffement climatique.
Par ailleurs, les produits utilisés ne sont pas exempts de composés chimiques. Ils contaminent sols et eaux. Les industries de transformation des produits sont également responsables de l’émission de gaz et de fumées. En somme, l’industrie des fast-foods est une source de production de grandes quantités de déchets sous plusieurs formes. La compatibilité de cette industrie et de l’écologie est par conséquent à redéfinir.
Comment rendre les fast-foods plus écologiques ?
La possibilité existe, mais constitue un défi. Afin que cela soit effectif, il faut que les producteurs revoient la composition des emballages. Ainsi, pourront-ils adopter des emballages dépourvus de produits toxiques. Cela limiterait l’intoxication des consommateurs ainsi que la dégradation de l’environnement.
Aussi, doivent-ils limiter les transports des produits sur les longues distances. Pour ce faire, la production et la consommation locale des denrées doit être envisagée. La limitation des usages de produits chimiques au cours de l’élevage est aussi une solution. Moins ils seront utilisés et mieux la nature se portera.
Les consommateurs doivent participer à la préparation des aliments en consommant des plats fait-maison. Ils peuvent aussi choisir de consommer des fast-foods bio. Ces alternatives réduiront les effets néfastes de cette industrie sur l’environnement.
Les fast-foods peuvent être plus en lien avec la nature si les industries luttent pour des actions éco-responsables. Elles doivent si possible opter pour des emballages 100% réutilisables.